LE TOUR DU MONTBLANC 2008

 

LE TOUR DU MONT-BLANC 2008

 

 

Depuis le temps que j'en rêvais et maintenant que je suis à la retraite je vais pouvoir faire le TOUR DU MONT BLANC.
7 jours de randonnée et 6 nuits en refuge.
C'est un grand classique incontournable de la randonnée en montagne. Certes il est assez fréquenté, mais aux dates choisies (du 29 Juin au 5 Juillet), c'est tout à fait raisonnable. De plus la présence des névés de début de saison renforce le caractère " Montagne". Nous ferons quelques variantes pour agrémenter le parcours et les vues sur le "Monarque des Alpes seront époustouflantes tant du côté Français qu'Italien. Enfin, le fait d'alterner les ambiances de pays si proches mais de cultures différentes apporte une richesse incontestable à ce circuit.



Dimanche 29 Juin 2008:

 Les Condamines Montjoie--Refuge de la Croix du Bonhomme 2433m


Le rendez-vous est fixé vers 11h aux Contamines-Montjoie
Les participants à cette randonnée: Fabrice (notre accompagnateur), Jean, Jany, Marie-Claire, Marcelle, Elise, Gilles, Jean-Pierre, Gaby et moi.
Après avoir fait connaissance avec le groupe, nous partons pour notre première étape qui va nous emmener de Notre Dame des Gorges (1210m) au refuge de la Croix du Bonhomme (2433m).

Notre Dame des Gorges
 



Nous commençons de suite à grimper. Il fait beau et chaud. Vers 12h30, nous nous arrêtons, pour casser une petite croute, dans un près à proximité d'un troupeau de vaches qui viennent voir quels sont ces intrus qui se permettent d'entrer sur leur territoire.
Marie-Claire n'est pas en très grande forme (il est vrai qu'avec "la goutte" et en prenant des médicaments, ce n'est pas idéal). Élise traine aussi la savate.

Le pique-nique
 
Marie-Claire se repose

 

 


 

 



Après un petit repos, nous reprenons notre chemin, car nous ne sommes pas encore au refuge.
Nos deux " malades" résistent et continuent à monter lentement, en se disant ça ira mieux demain
.

 


 

La traversée d'un premier névé

Avant d'arriver au col, nous traversons quelques névés. C'est mes premiers pas sur ces plaques de neige. Je suis un peu hésitant au début, mais petit à petit mes pas sont plus surs.

Arrivé au col du Bonhomme, Fabrice nous montre quelques sommets tout autour de nous. Nous ne sommes pas encore au bout de notre peine. Le chemin, qu'il nous fait voir, est encore long pour arriver au refuge.
Maintenant il faut traverser un névé très important.

Pour la première journée, je languis d'arriver au refuge, surtout que l'orage menace. Nous commençons à sentir quelques gouttes.


 

Refuge du Bonhomme

Lundi 30Juin 2008
Refuge de la Croix du Bonhomme (2433m) ---Refuge Elisabetta Soldini(2258m
)

Après une bonne nuit, et un solide petit déjeuner, une mauvaise surprise m'attend.
Mes chaussures ont disparu. On me les a "volé". Je trouve une paire à ma pointure, mais avant de la récupérer, je vais voir Fabrice et lui conte ma mésaventure. Il me dit d'attendre, et part faire le tour du refuge avec les chaussures que j'avais trouvé. Après avoir vu tous ceux qui n'étaient pas encore partis, il trouva la fautive(elle avait mes chaussures aux pieds). C'est une illuminée, qui me dit que n'ayant pas retrouvé ses chaussures elle avait pris les miennes tout en sachant qu'elle aurait des problèmes de marche (dans les siennes il y avait des semelles orthopédiques).
Elle me rend mes ustensiles de marche, et nous pouvons enfin partir.
Nous partons en direction du Col du Four (2665m). Il y a un bel enneigement, et c'est en traversant de splendides névés que nous arrivons au sommet de ce col.


 

Col du Four

Puis nous entamons la descente parmi les névés et alpages magnifiques jusqu'au chalet des "Tufs «puis "La Ville des Glaciers"
Je n'étais toujours pas confiant en descendant ces énormes névés.


 

Descente du névé

Avec Elise et Marie-Claire nous avons pris l'option de descendre sur le côté des névés. Nous étions plus rassurés. Puis la confiance venant nous finissons par faire comme les autres et nous lancer sur ces névés.
En cours de la descente, nous faisons une halte dans les alpages qui sont magnifique. Ils sont verts et colorés par de multitude de fleurs.
En regardant les sommets environnant, nous apercevons une vingtaine de Bouquetin. Ils sont trop loin pour pouvoir les photographier. Nous entendons, mais nous ne les voyons pas, siffler les marmottes.

Arrivé à la "Ville des Glaciers", nous pouvons voir la fabrication du Beaufort dans un énorme chaudron. Nous en profitons pour faire le plein d'eau.



Sur le côté, d'une maison, sont attachées des mules qui attendent des groupes de randonneurs.
Nous continuons notre chemin, et entamons la montée au Col de la Seigne(2516m), col frontière entre la France et l'Italie. Une demi-heure plus tard, nous faisons une halte casse-croute. Après un petit repos, nous repartons "Tranquillou" comme nous dit Fabrice. Mais qu'il est long ce col, il n'en finit pas. Vers le sommet(que je croyais), nous voyons un bouquetin qui s'approche de nous. C'est le premier qu'on voit d'aussi près(environ 40m). Il semble qu'il veut se faire photographier, ce que nous faisons. Puis nous continuons notre chemin. Il n'en finira jamais ce col, la pente est faible, mais que c'est long. En fin, nous y arrivons. Nous sommes sur la frontière Franco-Italienne

L’équipe à la Frontière

.Il ne reste qu'une heure pour arriver au refuge Elisabetta. Mais ce n'est que de la descente. Nous faisons quelques photos, et prenons une petite collation. Sur un névé, à coté de nous, nous voyons notre première marmotte qui s'amuse dans la neige.
Nous repartons, et comme d'habitude on commence par un névé. Les 7 plus courageux le prennent, tandis que Marie-Claire, Elise et moi choisissons les bords. C'est de la «bouillasse". Gilles va aussi emprunter ce névé, mais avant d'y arriver, ses pieds s'enfoncent dans cette "fange" et le voilà qui se ramasse une de ces gamelles!!! La descente s'effectue rapidement. Quand à nous trois, nous arrivons à un endroit où nous sommes obligés de finir la traversée sur ce névé que nous ne voulions pas prendre (50m environ). Vers 17h, nous voici arrivés au refuge (2258m). Les mules que nous avions vu à "La ville des Glaciers" sont arrivées avant nous. Que de monde. Je crois que le refuge est complet. Le dortoir qui nous est attribué contient une quarantaine de place. Il n'y a que deux douches qui fonctionnent (une pour les femmes et l'autre pour les hommes). Pour le couchage, nous sommes tous côte à côte. Ce sera notre plus mauvais refuge. Pendant que certains essaient d'aller prendre une douche, nous allons commander nos " Bières" que nous avons bien mérité.


Mardi 1 Juillet
Refuge Elisabetta(2258m)---Courmayeur(1226m)

Le levé est prévu vers6h300, car il faut descendre nos bagages pour 7h.Le petit déjeuner(toujours très copieux) est à 7h30.
Fabrice fait la répartition des victuailles pour le midi. Chacun doit avoir sa charge, il n'y a pas de passe droit.


Refuge Elisabetta

Le ciel est magnifique, il va faire une belle journée.
Les groupes "Cairn"(ils sont 4) vont charger les mules, qui sont impatientes de partir.
Jean et moi, faisons quelques photos de ces chargements


Les mules sont chargées

Puis d'un coup, nous voyons une des mules tomber (elle avait juste le bât), et se mettre sur le dos. C'est impressionnant. Tout le monde se demande ce qui se passe. Le muletier arrive sans s'affoler. Il desserre les sangles et fait se redresser la mule. Puis il nous explique ce qui s'est passé: Elle (la mule) est allée au dernier salon de l'agriculture, à Paris et a reçu une médaille. C'est là-bas qu'on lui a appris à se mettre sur le dos pour amuser les visiteurs. Maintenant, pour se faire remarquer de ses copines, de temps elle fait ce que nous venons de voir. Une fois tout le monde prêt, nous commençons la descente sur le lac Combal


Lac de Combal

Arrivé au lac, Fabrice nous dit: «puisque nous avons le temps, nous pourrions faire un crochet d'environ 1h (aller et retour) pour voir un lac glaciaire, le lac du glacier de Miages."


Lac de Miages

Tout le monde est d'accord et nous voilà parti pour ce lac. Il est magnifique, nous faisons quelques photos,puis nous reprenons notre périple qui nous conduit au col Chécrouit. Nous mangeons face au versant Italien du Mont Blanc (glacier de Miages, du Brouillard et du Freynet).
Il règne ici un silence, que tout le monde apprécie. D'un coup, ce silence est troublé par le ronflement d'un hélicoptère. Nous pensions qu'il ne faisait que passer, mais non, il faisait plein de rotation sur un refuge juste en face de là où nous étions. Après le repas, Fabrice nous raconte les ascensions et accidents de Walter Bonatti dans le pilier du Freynet et sur les divers sommets qu'on aperçoit.
Nous repartons avec plein d'images dans la tête et dans les appareils photos. Arrivé au col, la descente sur Courmayeur va commencer.


Descente sur Courmayeur

 Le début se passe très bien pour tout le monde. A mi-parcours, nous faisons une halte: il fait chaud. Nous apercevons Courmayeur, là-bas au fond de la vallée. Nous y serons bientôt. Nous réattaquons cette descente, en pensant «ça va aller très vite". Mais nous déchantons rapidement: c’est long, très long. De plus, il fait de plus en plus chaud. Pour tout le monde (ou presque), et pour moi, ça devient un calvaire. Mes genoux me font souffrir. Enfin nous arrivons au futur terminal du téléphérique: c'est gagné que l'on se dit. Nous regardons le panneau de direction qui nous indique: Courmayeur 1h. Nous sommes découragés. Mais Fabrice nous remonte le moral en nous disant que dans le centre ville il connaît un marchant de glace à l'italienne!!!! Nous arrivons enfin à Courmayeur.

C'est vrai qu'elles sont Bonnes ces glaces.


 

Elles sont bonnes les glaces !!!

Nous profitons pour visiter la ville, puis l'église. En sortant, j'apprends la profession de Jean-Pierre: il est prêtre. Vers 19 h nous rentrons à l'auberge pour souper. C'est très bon et surtout c'est copieux. Avant d'aller faire reposer les yeux, ainsi que les jambes, nous décidons d'aller prendre le café en ville. Prétextant la fatigue, les femmes préfèrent aller se coucher.

Mercredi 2 Juillet: Courmayeur (1226m) ---Refuge Walter Bonatti (2025m)

Le départ est prévu comme d'habitude vers 8h30


C’est le départ

Aujourd'hui, le dénivelé est le plus important de la randonnée: + 1400m, -600m. La montée sur le Mont de Saxe est raide, dés le départ. Nous arrivons à faire une moyenne de 400m de dénivelé à l'heure. Régulièrement, nous faisons quelques haltes car c'est vraiment "raide". Nous refaisons le plein des bidons au Refuge Bertones.


Refuge Bertones

Tout au long de ces haltes, Fabrice continu à nous nommer les différends sommets, aiguilles qui sont en face de nous. Vers 13h, arrêt très important pour le pique nique. Nous choisissons un endroit avec une vue magnifique: face aux Grandes Jorasses. Il n'y a pas de mots assez forts pour décrire la beauté de ce massif



Après un repos bien mérité, nous continuons à grimper jusqu'au Col Sapin. 
 

Puis c'est une descente magnifique, un peu technique, jusqu'à un ruisseau.Nous croyons en avoir terminé pour la journée, mais Fabrice nous montre le sentier qui remonte jusqu'au "Pas d'entre deux Sauts". Aujourd'hui, c'est long. Arrivé à ce Col, nous faisons une petite halte. 

Nous sommes à 1h du refuge. La descente dans les alpages est sublime.


Vers 17h, nous arrivons au refuge Walter Bonatti(2025m)

Refuge Walter Bonatti

 Le ciel est toujours très beau. Après nous être installé, nous allons comme à l'accoutumé  boire notre bière en terrasse.

Il fait soif !!

Après une bonne douche, nous allons souper.

C’est bon de se restaurer

 

Jeudi 3 Juillet

Refuge Bonatti (2025m) ---Chalet d'Arpette (1630m)

Lorsque nous émergeons, nous ne voyons que des nuages: la montagne qui est si belle se cache. Le départ se fera dans la grisaille, mais nous avons l'espoir que ce fichu temps va se lever.


 La gardienne du refuge, nous déconseille un passage, car le pont, qui est enlevé pendant l'hiver, n'a pas été remis en place. Fabrice prend note de ces recommandations, et nous dit, nous verrons cela lorsque nous serons arrivé à Arnuva, dans le fond du Val Ferret Italien. Nous avons à peine fait 1h de marche que la pluie commence à tomber. Une pluie fine, mais qui n'arrête pas. Je ne m'inquiète pas trop et j'enfile mon K Way. J'espère que ce ne sera pas un déluge, car j'ai laissé mon poncho dans mon autre sac (celui qui est transporté).


 Arrivé à Arnuva, Fabrice décide de nous faire passer quand même en balcon pour aller au grand Col Ferret (tous ceux qui sont devant nous, n'ont pas fait demi-tour et sont passés, alors pourquoi pas nous?) La pluie continue, les nuages sont bas, nous ne voyons pas les montagnes, c'est triste, ce sera notre plus mauvaise journée. Nous grimpons toujours aussi tranquille, puis nous arrivons à ce fameux ruisseau, où effectivement il n'y a pas de pont. Mais, ce ne sera qu'un détail. 2m à sauter ce n'est pas la mer à boire. Fabrice saute le premier, puis nous aide à passer.




 Nous passons au refuge Héléna, où nous ne faisons qu'une petite halte, histoire de souffler un peu?

Refuge Héléna

Et nous attaquons la montée sur le Col du Grand Ferret, toujours sous la pluie.


 Il y a du monde devant nous, derrière, c'est un vrai défilé. C'est sous la pluie glaciale que nous franchissons ce Col.Si le temps l'avait permis, c'est là nous avions l'intention de manger.


 Mais nous attaquons de suite la descente. A mi-parcours, il y a un "Alpage", avec lieu où nous allons pouvoir nous mettre à l’abri et nous restaurer. Comme la grande tente prévue à cet effet est pleine, Fabrice nous fait installer au "gite". Il y fait bon. Puis il nous commande d'énormes omelettes au fromage et une bouteille de "Fondant" vin Suisse excellent.


 Profitant d'une accalmie, nous repartons. Arrivés à Ferret, Fabrice nous demande si nous voulons attendre la navette ici, comme convenue, ou bien si nous l'accompagnons jusqu'au prochain village où il doit faire des courses.Comme nous sommes en avance sur l'horaire, nous décidons de l'accompagner.


 Et c'est sous la pluie que nous finissons cette journée.Puis nous prenons le mini bus pour nous rendre au Chalet d'Arpette. 


Après s'être installé dans nos "cages à lapins", nous allons consommer notre dose de houblon. Pour le repas, nous sommes cinq sur dix à prendre une  Fondue : être en Suisse, et ne pas manger une fondue, c’est une honte !!

 Vendredi 4 Juillet
Chalet d’Arpette (1630m) -Fenêtre d’Arpette (2671m) --Trient (1300m)

 Le départ se fait en pente douce dans une végétation abondante. Le temps est un petit peu nuageux mais aux fils des heures, c'est le soleil qui dominera. 



Nous commençons la montée qui est vraiment raide. Maintenant la végétation se fait plus rare, nous grimpons parmi les rochers et les névés. 


Nous apercevons, au moment d'une éclaircie, la fenêtre d'Arpette, qui est encore très haute.


 Enfin, nous sommes arrivés à la fenêtre. Nous sommes entre la tête du Génépy et la pointe des Escandies.




 Ce parcours nous offre des vues magnifiques sur le glacier du Trient, nous donnant des impressions de Haute Montagne. La "Fenêtre" est un passage étroit au milieu d'énormes blocs de rocher.Après une petite halte, nous commençons la descente, le long du glacier de Trient.C'est un chemin entre des blocs.




 A 1/3 du parcours, nous faisons la halte repas. Pendant que nous préparions le repas, Jean a mis une bouteille de rosé dans la neige pour la rafraîchir. Une bouteille pour dix, c'est peu, mais qu'est-ce qu'on a pu l'apprécier.


 Vers 14h30, nous reprenons notre marche, tout en discutant. Je dis à Fabrice: "C'est bien d'entendre le glacier craquer, mais j'aimerais assister à la chute de ces énormes blocs de glace."Il me répond que c'est quand même rare d'assister à un tel spectacle, car il faut être là au bon moment.
Alors avec Jany, nous interpellons Jean-Pierre (qui
est prêtre):"Bon, maintenant, si nous voulons voir tomber une partie de cette moraine, il ne reste plus qu'une chose: adresse toi à ton patron(Dieu) pour qu'il fasse le nécessaire. Il nous réplique: «Je veux bien, mais je ne sais pas s’il va m'écouter". Puis nous continuons la descente. Il ne se passe pas cinq minutes que d'un coup nous entendons un grondement énorme. Tous nos regards se portent vers le glacier: nous voyons ce que nous espérions, une infime partie de la moraine (quelques tonnes, quand même) qui s'écroule.
Je m'adresse à Jean-Pierre: «Tu vois bien, ton patron t'a écouté", et nous partons d'un grand éclat de rire.
Nous finissons la descente jusqu'à Trient où nous sommes hébergés au "Relai du Mont-Blanc".




 Après le souper, Marcelle veut nous montrer les images qu'elle a filmées pendant toute notre ballade. Nous demandons l'autorisation d'utiliser le téléviseur qu'il y a dans la salle de restaurant. Ce sont de très belles images: Gaby va avoir du mal à sélectionner 20mn de film.

  Samedi 5 Juillet 2008
Trient (1300m)-Col des Montets-La Flégères-Les Praz- Les Contamines


 

C'est notre dernier jour. Après un transfert en car jusqu'au Col des Montets, nous allons faire une courte excursion dans la réserve Naturelle des Aiguilles Rouges.


Nous sommes face à l'Aiguille Verte, aux Drus, la Mer de Glace, l'Aiguille du Midi et bien entendu au Mont-Blanc.




 C'est fabuleux. Il n'y a pas de mots pour dire la beauté du paysage que nous avons devant nos yeux. Tout au long de notre chemin, nous pouvons photographier les chamois et les bouquetins.


C'est extraordinaire comme ils n'ont pas peur de l'homme: il est vrai que nous sommes dans une réserve.
Nous faisons un crochet pour admirer deux lacs superbes: le lac des Chéserys
et le lac Blanc.



 C'est superbe et ça valait vraiment le détour. Puis après un dernier pique-nique, aux abords du Lac Blanc et face au Mont-Blanc,




 nous entamons la descente jusqu'au téléphérique de la Flégère.


 Dernière photos, et c'est sûrement dans le téléphérique que Jean s'est fait voler son appareil photo (nous nous en apercevrons le soir en arrivant à Blandas).
En bas aux Praz(quartier de Chamonix), les taxis nous attendent pour nous ramener à notre point de départ, Notre Dame de la Gorge, où nous récupérons nos véhicules.
Après un dernier verre dans un café des Contamines, l'équipe se sépare avec l'espoir de se retrouver l'année prochaine pour faire une grande ballade dans les Dolomites.
Retour à Blandas vers 23h30

FIN

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 






 



 

 






 










 



L’équipe à la fenêtre d’Arpette

Jean se repose

 


 

Le glacier de Trient


.

 

 

 

 

 

 

 


Le relai du Mont-Blanc

La Chapelle de Trient






 

Les Drus et l’Aiguille verte

La mer de glace

 


 


 

Lac de Cheserys

 

 

 

Le lac Blanc

 

 

Jean au bord du lac Blanc

 

 

Dernier repas


 

 

 

La descente sur les Flégères

Dernière montée

Fabrice prend les billets pour le téléphérique

 





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